mercredi 14 janvier 2009

Recycler…. les mentalités d’abord (1ére partie).






Après presque trois semaines de beau temps voila que les journées sombres et pluvieuses refont à nouveau surface et étalent ainsi leurs voiles gris et triste sur notre morale, un juste retour des choses au fait, c’est l’éternel cycle des saisons qui refait ça boucle, en disant « éternel » je suis entrain de mentir un peu à moi-même, puisque avec se réchauffement planétaire je me dit qu’on est entrain de vivre les dernières années de tout ce que l’humanité a connue, du moins ces derniers siècles, puisque nous somme à l’aube d’un changement radical au niveau climatique, que l’homme à cause de son avidité et de sa folie a rendu possible, ce qui était que des théories et des projections considérées comme alarmistes il y a quelque décennies, les scientifiques de cette époque qui ont tiré la sonnette d’alarme étaient considérer comme des marginaux ou pire comme des charlatans, qui voulaient stoppé le progrès, mais en fin de compte et avec beaucoup de retard on s’est rendu compte que ces hommes de sciences était des visionnaires et en avance sur leur époque.
L’homme cet espèce dominante, qui à cause de sa course effrénée à la croissance économique s’est retrouvé piégé par ces propres règles du jeu et semble ne pas vouloir faire marche arrière, menant ainsi avec lui dans sa perte les autres espèces animales et végétales, après cette petite introduction je voudrais vous parler d’un concept ou d’une nouvel manière de consommer, mais la définition la plus juste à mon avis serait « un état d’esprit », cette nouvel approche je l’ai découverte il y a quelque temps de cela et elle n’a rien à voir avec un phénomène de mode de « pensée intellectuel » ou autre phénomène que l’on pourrait qualifié à première vue de « hippie », cette nouvel façon d’aborder les choses c’est « la simplicité volontaire » (simple living), un terme qui parait totalement décalé et choquant avec la pensée dominante du moment, ou tout le monde veut tout et tout de suite,à une époque ou il n’y a jamais eu autant de riches sur la planète, tout le monde veut avoir sa part du gâteau et peu importe la façon d’y parvenir.
La simplicité volontaire, est une nouvelle approche qui remet en cause notre manière de consommer, elle tient compte de l’impacte de cette dernière sur notre écosystème, la simplicité volontaire est une action individuel que tout éco citoyen qui veut vivre en harmonie avec ses principes peu adopté, bien sur qui dit simplicité volontaire ne veut pas dire privation ou appauvrissement de l’individu, ce concept est une remise en cause du mode de vie de nos sociétés moderne, cette approche vise à identifier nos réels besoins de consommation d’énergie, d’eau et de nos multiples achats quotidiens,elle vise aussi à revoir notre mode de déplacement dans nos cités, cette identification permet de limiter le gaspillage des énergies, réduire nos emballages et connaître ainsi la limite entre la consommation et la surconsommation dans notre vie quotidienne.
Tous ces petits gestes qui contribuent à la préservation de notre environnement, on peu les apprendre et les intégrer dans notre vie pour qu’ils deviennent des réflexes, il y a un début à tout comme on dit et il n’es t jamais trop tard pour bien faire, comme par exemple utilisé les lampe à basse consommation (LBC), les multiprises avec interrupteur pour couper les veilles des appareils électroménagers, car les voyants allumés de nos appareils sont comparés à des fuites d’eau, donc grâce à ce procédé simple on va économiser de l’énergie et de l’argent, pour le mode de transport pourquoi prendre sa voiture pour acheter une baguette de pain chez l’épicier du coin quand on peu le faire à pieds et en plus la marche est recommandé pour tout le monde, une demi heure minimum par jour, donc il n’y a pas de petits gestes quand on est des millions à le faire, pour paraphraser le message d’une campagne de sensibilisation pour l’environnement.
On peu dire que tous ces gestes cités ci-dessus sont la première étape du processus de « simplicité volontaire », et que tout écolo de base peu adoptés et intégrés facilement dans sa vie de tout les jours, la deuxième étape demande plus d’implication de la personne qui de ce fait va revoir toute sa façon d’aborder la consommation, et remettre cette dernière à sa juste place c'est-à-dire considérer la consommation comme un moyen pour vivre et non pas comme une finalité, en brisant cette logique l’individu peu se libéré de se lourd héritage de nos sociétés moderne qui consiste à avoir de plus en plus de biens de consommation pour être heureux, cette idéologie mercantiliste nous enferme dans un cercle vicieux qui consiste à travailler toujours plus pour avoir toujours plus de choses qui ne nous servent à rien ou presque, et avec tous ces crédits à la consommation et toutes ces pub qu’on nous martèle à longueur de journée on finit par tomber dans le piége, on se retrouve avec plusieurs crédits sur le dos et pour les remboursés il faut passer les trois quart de sa vie enfermer dans un bureau ou dans une usine, à faire des heures supplémentaire, à travailler les week-end , donc une question se pose : ou est le but de tout ça ? Si on néglige la vie de famille, la vie collectif, les amis et tout ce qui fait de nous des humains, car on crois se sacrifier pour nos enfants et notre famille on leur donnons de plus en plus de choses, mais si on est pas à coté d’eux et si il n’y a aucun dialogue aucun partage à quoi ça sert ?
Le système actuel veut réduire l’homme à une simple machine à produire et à consommer dénué de tout autre facette, la preuve c’est qu’en occident on mesure le morale des ménages chaque mois par le taux de progression ou de baisse de leur consommation, on veut enfermer l’homme dans une seule dimension en négligent toutes les autres dimensions qui font de lui un être supérieur, quel tristesse.
En plus en limitant les achats au strict nécessaire et en faisant attention à la qualité des produit consommés (produits écologiques, biodégradables…etc.), on peu réduire l’impacte négatif sur l’environnement car moins de produits veut dire moins de déchets, moins d’énergie pour les produire, moins d’exploitation des ressources nécessaire à leurs fabrications et tout cela va nous amener à moins de pollution et par conséquent limiter les émanations de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère.

5 commentaires:

Paul Racicot a dit…

Excellent blogue !
Écrits pertinents et fort intéressants!

Oui à la décroissance! Ou... Mère-Nature s'en chargera!

A+

Paul
http://paulracicot.blogspot.com/

Merzak a dit…

merci l'ami pour cet encouragement :)

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Anonyme a dit…

La simplicité volontaire ... j'y crois dur comme fer. J'y crois d'autant plus qu'étant un acte choisi et réfléchi il ne s'agit pas de se "priver" mais de n'acheter (neuf) QUE lorsque cela est INDISPENSABLE.
Cela incite au troc, au recyclage ...

C'est cool de faire passer le mot aux autres !
Merci Zak...

Merzak a dit…

merci Vee pour votre commentaire, ça me fait vraiment plaisir :)